La nouvelle carte d’identification nationale sera dotée d’une puce électronique

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Des techniciens de la firme Dermalog ont installé de nouveaux serveurs au niveau du système d’identification nationale avec une capacité de stokage de toutes les données de l’ONI.

Avec un serveur saturé à 95%, l’institution a été dans l’incapacité de produire des cartes d’identification nationale.

Ces techniciens de la firme DERMALOG, une société allemande spécialisée dans la fourniture des services biométriques, envisagent d’installer les mobiles de l’ONI à partir du mois de février prochains. Ils seront d’environ 1000 unités, informe le directeur de communication de l’institution, Wandy Charles.

Très important dans la fabrication des CIN, ces appareils offrent des spécificités techniques intéressantes. D’ailleurs, ils ne sont pas en pièces indissociables, contrairement aux anciens, se réjouit Wandy Charles.

Ils seront installés dans plusieurs sections communales et doivent permettre à l’Office de produire plus de cartes d’identification nationale. L’ONI se fixe pour objectif d’avoir la garantie que toutes les cartes sont entre les mains de leurs propriétaires, informe le directeur de communication de l’institution.

Ce nouveau système doit permettre à l’ONI d’épurer sa base de données. Wandy Charles informe que la nouvelle carte d’identification sera dotée d’une puce électronique, avec des données intégrées et un code barre 3D.

Elle sera en polycarbonate, contrairement à l’actuelle carte d’identification nationale qui est composée de teslin, c’c’est-à-dire papier et du plastic. Le Polycarbonate peut durer jusqu’à 10 ans avant de se dégrader, a conclu le directeur de communication de, l’ONI Wandy Charles .